Baz'art  : Des films, des livres...
4 juillet 2019

Polar pour l'été : J'ai du réver trop fort : le thriller amoureux et musical de Michel Bussi

 

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"Une hirondelle! Olivier la reconnait. Cette silhouette est la jumelle de celle dessinée sur l'épaule de Nathalie, un tatouage que ses lèvres ont si souvent évité quand il l'mbrasse dans le cou en élargissant le col d'un chemisier, qu'il a eu si souvent envie d'effacer à en mordre le corps de sa femme, à le mordre au sang"

 Nathalie est hôtesse de l'air. Epouse aimante, mère au top, tout va bien dans sa vie. Jusqu'au jour où plusieurs signes faisant écho à un age de son é la pousse à s'y replonger. Faisant référence à un voyage, effectué 20 ans plus tôt, plusieurs signes du présent semblent faire référence à ce vol é,  de façon trop voyante pour être une simple coïncidence.

 

Mais l'impression de déjà vu est plus que tenace et Nathalie semble de plus en plus virer dans la folie et la paranoïa.

 

Pour avoir écrit le génial Nymphéas noirs  il y a quelques années, on  a énormément d'indulgence pour Michel Bussi, même si certains de ses romans, dans l'immense production qu'il a écrit depuis n'est pas vraiment du même niveau avec une intrigue parfois un peu faible et une  écriture  somme toute vraiment neutre.

Dans j'ai du rêver trop fort, sorti en février dernier, "J'ai dû rêver trop fort" est dans la lignée des romans de cet auteur. pleine de suspens et de rebondissements qui vous donnera envie de tourner les pages sans répit.

Bussi  reste évidemment  fidèle à ces intrigues qui voient des personnes au é secret ou oublié leur revenir à la surface ( Harlan Coben aime aussi beaucoup ce genre de récit ) et plonge son lecteur dans une histoire à plusieurs entrées et nous perturbe bien comme il faut !et où les conditions sont étrangement les mêmes.

Michel Bussi nous propose une histoire forte en sentiments, autant histoire d'amour que thriller proprement dit et dans laquelle la musique compte une place importante.

En effet, alors que le titre du roman, est évidemment tiré de la chanson d’Alain Bashung « Vertige de l’amour » l’artiste Gauvain Sers  qu'on aime bien à baz'art a composé spécialement et interprété une chanson, « Que restera-t-il de nous ? » Et qui est inspirée directement du livre.

Une chanson qui peut parfaitement servir de bande sonore à cette agréable lecture, idéale pour l'été !!

 

Commentaires
D
Bien décevant, roman à l'eau de rose ou roman de gare. L'histoire ne tient pas debout. On ne reconnaît pas l'écriture de Bussi.
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