1. La petite peste philosophe ne s'arrange pas :
La petite peste philosophe, je vous avais déjà parlé en octobre dernier, lors de la parution en , du premier tome de cette sale gosse si brillante et si supérieure aux autres enfants de son âge. Jeune fille de 10 ans complétement nihiliste, qui parle comme une jeune femme de trente ans, et qui e son temps sur Internet, elle faisait (sou) rire le lecteur amusé par ses pensées philosophiques à laquel il est peu coutumier.
La créatrice de ce personnage qui connait un vrai carton en Italie, Ana Vinci, est auteure de nombreuses bandes Dessinées ses livres sont traduits et publiés en , en Espagne et au Japon. Vanna Vinci réalise également des ouvrages pour la jeunesse et collabore avec divers journaux et magazines. En Italie, elle a reçu les prix les plus prestigieux de la Bande Dessinée.
Une fois cela dit, je suis obligé de reconnaitre que ce second tome m'a dçu: sans doute parce l'effet de surprise du premier volet est derrière moi, et sans doute car sur la longueur, ce genre d'humour et de personnage peut lasser. Ici, de nombreuses bulles sont consacrées à l'instauration d'un monde imaginé par la petite peste, Lilliland, et tout ce qui a trait à ce monde est hélas confus et peu drôle. Heureusement, le personnage du cochon Lino, déjà impayable dans le prmier volet vient un peu relever le niveau et est à créditer des moments les plus drôles de la BD..enfin, pas suffisant pour avoir envie que de lire un éventuel troisième volet de cette petite peste.