ténébreuses, de karin altevgen
L'histoire en deux mots : Un écrivain nobélisé est enfermé dans une maison médicalisée, face à ses tragédies du é.
La critique :Tout d'abord, ce livre n'est pas ce qu'on appelle un thriller, malgré l'annotation sur la couverture : pas de meurtres ou de flingues, . mais un suspense psychologique intense qui va crescendo au fil des pages.
Karin ALVTEGEN est un écrivain suédois mais la Suède est peu présente dans l'intrigue, on ne trouve pas ou peu de descriptions de paysages ou de la vie en Suède.
L'intrigue alterne le é et le présent et les différents personnages qui n'ont pas a priori pas de lien se retrouvent peu à peu par la force des choses.
On avance en devinant partiellement les élèements qui nous amènent petit à petit à une fin qui fait froid dans le dos. La psychologie de ces personnages qui se révèlent prêts à tout pour protéger ce qui leur appartient est très bien dessinée :Vénalité, mépris, perversité et machiavélisme , la palette des sentiments est riche et complexe, Certes, parfois, la complaisance et le glauque peut poindre, mais l'auteur fait le choix de suggérer certains faits que nous pouvons interpréter à notre guise.